Immeuble ou maison en pan de bois
Petit immeuble ou maison de ville en pan de bois ou longère
En quelques mots …
| Période de construction | A partir du XIIIeme siècle et avant 1850 | |
| Habitat | Petit collectif, individuel en ville, individuel en campagne | |
| Taux de représentation sur la Métropole Rouen Normandie | Environ 1,2 % des bâtiments et 1,5 % des logements | |
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Enjeux patrimoniaux |
Eléments remarquables sur les façades à préserver :
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| Modes constructifs |
Maison mitoyenne alignée sur rue, ossature bois sur 4 niveaux maximum, remplissage en torchis, brique ou tout-venant et soubassement en pierre important
Maison isolée, sans mitoyenneté, plain-pied ou un étage, orientation est-ouest avec façade principale au sud (dos aux vents dominants), soubassement peu marqué, ossature bois à colombages plus espacés, toiture parfois en chaume |
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Matériaux en façade |
Bois, torchis, enduit, pierre (en sous bassement), brique ancienne (soubassement ou remplissage) | |
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Matériaux de structure |
Bois, pierre (éventuellement brique) |
Caractéristiques architecturales remarquables
Habitat :
Le type se décline sous deux formes d’habitat dans la métropole rouennaise :
Petit immeuble ou maison de centre-ville
Longère en campagne
Le pan de bois est un élément emblématique de l’architecture rouennaise. Les constructions en ossature bois apparente, souvent colorées et ornées de motifs sculptés confèrent aux façades une identité visuelle forte et authentique. De nombreux édifices à colombages, notamment dans le centre historique, témoignent de ce savoir-faire ancestral. Elles incarnent non seulement un patrimoine architectural précieux, mais aussi une tradition locale de construction durable et adaptée au climat normand. Aujourd’hui encore, ces habitations à pan de bois participent au charme et à l’attractivité résidentielle de la ville.
Styles architecturaux, modes constructifs et matériaux principaux :
Les immeubles ou maisons à pans de bois présentent un style architectural traditionnel hérité du Moyen Âge. Elles sont construites selon un mode constructif à ossature bois (poteaux, sablières, contreventements), reposant sur un soubassement en pierre. Le remplissage non porteur est réalisé en torchis, brique ou moellons, parfois recouvert d’un enduit à la chaux. Le bois, souvent du chêne, est laissé apparent en façade et participe fortement à l’expression esthétique du bâti. On distingue des styles sobres (longères) et d’autres plus décorés (maisons bourgeoises avec colombages sculptés).
Eléments remarquables et caractéristiques esthétiques du type :
Structure :
- L’ossature bois apparente rend la structure lisible sur la façade. On peut donc voir les poteaux verticaux, sablières horizontales et les écharpes en diagonale.
- Le remplissage initialement fait de torchis (mélange de terre et de paille) peut également être composé de différents matériaux peu esthétiques (briques, gravats, paille, etc.) qui témoignent d’une forme d’architecture vernaculaire qui s’adapte à son environnement et qui emploie ou recycle les matériaux disponible localement.
Volumétrie et compacité :
Les constructions de type immeuble de centre-ville sont relativement compactes mais peuvent comporter des encorbellements (débordement des étages supérieurs sur la rue pour gagner de la place au sol)
Les longères ont une forme parrallélépipédique, compacte qui permet d’éviter au maximum les déperditions
Façades :
- En plus de la structure apparente, on retrouve sur la façade le remplissage en torchis ou parfois briques. Il peut être laissé apparent ou enduit, selon les périodes ou les restaurations. Le bois peut être laissé brut, peint (dans des tons naturels, rouges, bruns, noirs, parfois vert ou bleu).
- Dans certains cas, le colombage est recouvert d’un essentage (ardoises fixées sur le bois), lui conférant ainsi une couleur bleutée.
L’architecture à pan de bois est également un support décoratif très expressif, on y trouve :
Des motifs sculptés dans le bois des sablières, poteaux, ou consoles
Des encorbellements qui rythment les étages des les immeubles de centre-ville
Des sculptures figuratives ou des statues, sculptées dans le bois ou la pierre
Ouvertures :
- Les ouvertures sont en général de petite taille, avec des encadrements en bois. Le rythme des ouvertures est souvent irrégulier, en lien avec l’organisation intérieure.
- Dans le cas de longères, il n’est pas rare de ne trouver des fenêtres que sur la façade qui est le moins exposée aux intempéries.
Toitures :
- Les toitures sont généralement , à deux pans et recouvertes d’ardoises. En centre-ville, on retrouve de nombreuses lucarnes et la toiture à deux pans est parfois brisée. On retrouve aussi dans l’agglomération des longères à pans de bois à toit de chaume.
Attention : Pans de bois enduits
Il arrive que des pans de bois aient été recouverts d’enduit à une certaines époques pour différentes raisons : bois de moindre qualité, volonté d’un aspect plus soigné ou encore pour limiter les risques d’incendie. Dans ces cas, il n’est pas toujours évident de deviner qu’une structure en bois se cache sous l’enduit.
Certains indices peuvent toutefois mettre le propriétaire sur la piste :
- Encadrements de fenêtres en bois visibles
- Épaisseur du mur compris entre 20 et 25 cm pour un mur extérieur et entre 14 et 20 cm pour un mur de refend (mur porteur intérieur). Les murs de soubassement en pierre ont une épaisseur d’une quarantaine de centimètres.
- Les fissures dans le pan de bois suivront les pièces de bois, et seront rectilignes, verticales, horizontales ou obliques. Dans un mur en maçonnerie, les fissures ne seront pas parfaitement rectilignes. Dans un mur en brique, les fissures seront en escalier car elles suivront les joints de la brique.
S’il s’agit effectivement de pan de bois (à vérifier avec un professionnel), on se demandera s’il est intéressant laisser apparaître à nouveau le bois : remettre le colombage à nu n’est pas toujours une bonne idée. Certains pans de bois n’étaient pas faits pour être visibles à l’origine. Si l’enduit qui sert de protection est retiré à tort, il y a un risque de les abîmer. Cela est vérifiable grâce à un sondage qui indiquera la qualité du bois. Dans le cas où le bois a été conçu à l’origine pour être apparent, une restauration sera envisageable.
Si l’enduit n’est pas en bon état, il faudra le reprendre de manière localisées ou refaire complètement à neuf.
Précautions principales pour des interventions de réhabilitation ou de ravalement
Réhabilitation architecturale et thermique
Les éléments remarquables des façades, visibles et garants de l’intérêt patrimonial du bâtiment, doivent être préservés, voire réparés.
Les interventions depuis l’extérieur doivent être celles qui permettent de conserver les façades remarquables (en particulier l’appareillage des briques). Il est indispensable de dresser la liste des éléments remarquables du bâtiment (établie via un diagnostic architectural) avant d’intervenir sur celui-ci, afin de pouvoir les préserver (ou les reconstituer).
Pour une réhabilitation thermique, les préconisations de conservation des éléments patrimoniaux rendent extrêmement complexe l’intervention par l’extérieur. On privilégiera les interventions par l’intérieur.
Les matériaux de l’enveloppe constituent un élément remarquable (contribue à la qualité patrimoniale). Il conviendra donc de les préserver : les laisser apparents pour leur qualité architecturale et les préserver en choisissant des isolants qui respectent leur fonctionnement hydrique et structurel (notion de perspirance à la vapeur d’eau à préserver, on utilisera par exemple un mortier à la chaux).
L’humidité constitue l’un des principaux facteurs de détérioration des maçonneries. Qu’il s’agisse de murs en brique uniquement ou de murs composites, l’eau peut s’y infiltrer et, en cas de gel, provoquer des éclatements pouvant fragiliser la structure. Avant toute intervention, un diagnostic précis des façades, des fondations et des murs pignons est indispensable afin de repérer l’origine de l’humidité et de définir les mesures à mettre en œuvre.
Plusieurs sources d’humidité peuvent être identifiées :
Les eaux pluviales doivent être correctement évacuées, ce qui suppose le maintien en bon état des corniches, l’installation et l’entretien régulier de gouttières, ainsi que la préservation de tout élément protégeant la base des murs.
La condensation intérieure, souvent liée à une mauvaise aération, peut être réduite par une ventilation efficace, l’utilisation d’enduits respirants et une isolation adaptée.
Les remontées capillaires, fréquentes au bas des murs en matériaux poreux comme la brique, exigent quant à elles un drainage adéquat du sol pour limiter leur impact.
Par ailleurs, en cas d’intervention qui améliore l’étanchéité à l’air du bâtiment (travaux de rénovation énergétique par exemple), il conviendra d’installer une ventilation mécanique (ou vérifier qu’il y en a déjà une) garantissant un débit d’air hygiénique minimum pour prévenir des dégradations à l’intérieur du logement, liées à une accumulation d’humidité.
Il est recommandé de prendre conseil et de se faire accompagner par un professionnel qualifié pour toute intervention de réhabilitation ou de ravalement de façade sur une façade remarquable.
Plus d’éléments sur le contexte
Cliquez sur les onglets pour en savoir plus sur ce type de bâtiments :
Caractérisation architecturale et technique par sous-types
Immeuble ou maison de centre-ville en pan de bois
Description architecturale
Pans de bois visibles et teintés
Fenêtre à carreaux et petits bois, menuiserie bois, simple vitrage
Petits immeubles de 4 étages maximum, dont le dernier étage est parfois un ancien séchoir.
Sous bassement en pierre, encorbellements
Toiture à 2 pans, généralement en ardoise accueillant des lucarnes
Caractéristiques constructives techniques
Contexte constructif
Ville médiévale très active et commerciale. Constuctions régionalistes qui utilisent le bois local.
Modes constructifs
- Pan de bois
Composition des murs
- Pan de bois, remplissage torchis, brique ancienne ou tout venant, parfois différent selon les façades.
Caractéristiques thermiques et comportement hygrothermique
Performance thermique de l’enveloppe
Comportement thermique des immeubles en pan de bois :
| Inertie | Les murs en pan de bois et torchis ou tout venant apporte une inertie faible (faible épaisseur de mur, de l’ordre de 20cm). Les variations de température se répercutent rapidement à l’intérieur. |
| Isolation | Pas d’isolation supplémentaire, les menuiseries et les vitrages étaient à l’époque très déperditifs mais ont très probablement été remplacés (ou installation de double fenêtres) |
| Déphasage | Faible, de l’ordre de 4 à 6h ce qui engendre que la chaleur emmagasinée ldans les murs est restituée avant la fin de l’après-midi. Cela engendre un inconfort pendant les vagues de chaleur. |
- Leviers pour améliorer la performance énergétique du bâtiment (3 points clés permettant d’améliorer la performance de l’enveloppe du bâtiment et qui ne déteriorent pas sa qualité patrimoniale) :
| Leviers pour améliorer la performance en hiver | Leviers pour lutter contre la chaleur en été |
|---|---|
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Comportement hygrothermique des parois
Le comportement hygrothermique des parois dépend de leur constitution, notamment des matériaux mis en œuvre :
| Matériaux du mur | Hygroscopicité | Résistance à la diffusion de vapeur (µ) | Perméabilité à la vapeur d’eau | Capillarité |
| Pan de bois + torchis | Forte | Faible à moyenne | Forte | Moyenne à forte |
| Pan de bois + tout venant | Moyenne | Moyenne | Moyenne à forte | Moyenne |
A ces matériaux constituant la structure porteuse du mur, il faudra ajouter les caractéristiques des enduits ou parements (mais cela ne modifie pas les caractéristiques énoncées dans le tableau).
Confort en hiver
| Les aspects participant au confort en hiver : | Zonage thermique : L’organisation judicieuse des espaces intérieurs selon leur utilisation et leur exposition optimise le confort. Par exemple, les zones de vie sont souvent exposées au sud pour bénéficier de la chaleur solaire en hiver, les logements sont traversants. |
| Les aspects dégradant le confort en hiver : | Isolation thermique et inertie : Les parois ne sont pas isolées, les murs ont une inertie faible. Ventilation / Qualité de l’air : Les bâtiments en pierre ne sont pas équipés de ventilation mécanique (VMC) mais par ventilation naturelle. Cela signifie que l’air passe traverse le bâtiment par les défauts d’étanchéité et lors de l’ouverrture des fenêtres. Le débit d’air hygiénique traversant le bâtiment n’est pas toujours garanti, même si les circulations d’air entre les pièces sont généralement étudiées judicieusement. Il arrive que le bâtiment soit humide, en particulier si les défauts d’étanchéité ont été bouchés (rénovation), cela impacte également la qualité de l’air. Volets : Les dispositifs sont rares. Étanchéité à l’air : Les bâtiments anciens en pierre présentent une faible étanchéité à l’air, en particulier au niveau des menuiseries. Cette perméabilité impacte négativement leur efficacité énergétique et réduit le confort thermique des occupants. |
| Les aspects variables : | Orientation du bâtiment : L’orientation influence les apports solaires. Une disposition avec des ouvertures au sud, sud-est ou sud-ouest permet de maximiser les gains de chaleur en hiver. L’orientation des parois vitrées est vraiment spécifique à chaque bâtiment, notamment puisqu’ils suivent généralement le linéaire de la rue. Aménagements extérieurs : La végétation autour du bâtiment (lorsqu’elle existe) offre un confort visuel qui participe à se sentir bien dans les bâtiments. Cet aspect souvent négligé peut impacter le confort thermique des occupants. |
Confort en été
| Les aspects participant au confort en été : | Ouvertures : Les fenêtres sont généralement de petite taille ce qui limite les apports de chaleur Orientation : Les logements sont traversants et permettent à l’occupant de créer un courant d’air pour rafraîchir. |
| Les aspects dégradant le confort en été : | Isolation thermique : Les parois et planchers haut ne sont pas particulièrement isolés. Ils ne participent pas à limiter la montée en température du bâtiment, ni à conserver la fraîcheur en été. Inertie thermique : La faible inertie ne permet pasde lutter contre les vagues de chaleur. Étanchéité à l’air : La mauvaise étanchéité engendre des infiltrations d’air indésirables, dégrandant l’efficacité énergétique et le confort thermique en été. Ventilation / Qualité de l’air : La ventilation naturelle n’est pas suffisante pour rafraîchir le bâtiment. Protections solaires : Les dispositifs sont rares, la chaleur pénetre facilement dans le bâtiment. |
Longère ou manoir
Description architecturale
Pans de bois visibles et teintés
Fenêtre à carreaux et petits bois, menuiserie bois, simple vitrage
Maisons organisées en longueur avec une enfilade de pièces
Sous bassement en pierre
Toiture à 2 pans, généralement en ardoise ou en chaume, accueillant des lucarnes
Caractéristiques constructives techniques
Contexte constructif
Campagne proche de la ville médiévale très active et commerciale. Constuctions régionalistes qui utilisent le bois local.
Modes constructifs
- Pan de bois
Composition des murs
- Pan de bois, remplissage torchis, brique ancienne ou tout venant, parfois différent selon les façades.
Caractéristiques thermiques et comportement hygrothermique
Performance thermique de l’enveloppe
Comportement thermique des longères ou manoirs en pan de bois :
| Inertie | Les murs en pan de bois et torchis ou tout venant apporte une inertie faible (faible épaisseur de mur, de l’ordre de 20cm). Les variations de température se répercutent rapidement à l’intérieur. |
| Isolation | Pas d’isolation supplémentaire, les menuiseries et les vitrages étaient à l’époque très déperditifs mais ont très probablement été remplacés (ou installation de double fenêtres) |
| Déphasage | Faible, de l’ordre de 4 à 6h ce qui engendre que la chaleur emmagasinée ldans les murs est restituée avant la fin de l’après-midi. Cela engendre un inconfort pendant les vagues de chaleur. |
- Leviers pour améliorer la performance énergétique du bâtiment (3 points clés permettant d’améliorer la performance de l’enveloppe du bâtiment et qui ne déteriorent pas sa qualité patrimoniale) :
| Leviers pour améliorer la performance en hiver | Leviers pour lutter contre la chaleur en été |
|---|---|
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Comportement hygrothermique des parois
Le comportement hygrothermique des parois dépend de leur constitution, notamment des matériaux mis en œuvre :
| Matériaux du mur | Hygroscopicité | Résistance à la diffusion de vapeur (µ) | Perméabilité à la vapeur d’eau | Capillarité |
| Pan de bois + torchis | Forte | Faible à moyenne | Forte | Moyenne à forte |
| Pan de bois + tout venant | Moyenne | Moyenne | Moyenne à forte | Moyenne |
A ces matériaux constituant la structure porteuse du mur, il faudra ajouter les caractéristiques des enduits ou parements (mais cela ne modifie pas les caractéristiques énoncées dans le tableau).
Confort en hiver
| Les aspects participant au confort en hiver : | Zonage thermique : L’organisation judicieuse des espaces intérieurs selon leur utilisation et leur exposition optimise le confort. Par exemple, les zones de vie sont souvent exposées au sud pour bénéficier de la chaleur solaire en hiver, les logements sont traversants. |
| Les aspects dégradant le confort en hiver : | Isolation thermique et inertie : Les parois ne sont pas isolées, les murs ont une inertie faible. Ventilation / Qualité de l’air : Les bâtiments en pierre ne sont pas équipés de ventilation mécanique (VMC) mais par ventilation naturelle. Cela signifie que l’air passe traverse le bâtiment par les défauts d’étanchéité et lors de l’ouverrture des fenêtres. Le débit d’air hygiénique traversant le bâtiment n’est pas toujours garanti, même si les circulations d’air entre les pièces sont généralement étudiées judicieusement. Il arrive que le bâtiment soit humide, en particulier si les défauts d’étanchéité ont été bouchés (rénovation), cela impacte également la qualité de l’air. Volets : Les dispositifs sont rares. Étanchéité à l’air : Les bâtiments anciens en pierre présentent une faible étanchéité à l’air, en particulier au niveau des menuiseries. Cette perméabilité impacte négativement leur efficacité énergétique et réduit le confort thermique des occupants. |
| Les aspects variables : | Orientation du bâtiment : L’orientation influence les apports solaires. Une disposition avec des ouvertures au sud, sud-est ou sud-ouest permet de maximiser les gains de chaleur en hiver. L’orientation des parois vitrées est vraiment spécifique à chaque bâtiment, notamment puisqu’ils suivent généralement le linéaire de la rue. Aménagements extérieurs : La végétation autour du bâtiment (lorsqu’elle existe) offre un confort visuel qui participe à se sentir bien dans les bâtiments. Cet aspect souvent négligé peut impacter le confort thermique des occupants. |
Confort en été
| Les aspects participant au confort en été : | Ouvertures : Les fenêtres sont généralement de petite taille ce qui limite les apports de chaleur Orientation : Les logements sont traversants et permettent à l’occupant de créer un courant d’air pour rafraîchir. |
| Les aspects dégradant le confort en été : | Isolation thermique : Les parois et planchers haut ne sont pas particulièrement isolés. Ils ne participent pas à limiter la montée en température du bâtiment, ni à conserver la fraîcheur en été. Inertie thermique : La faible inertie ne permet pasde lutter contre les vagues de chaleur. Étanchéité à l’air : La mauvaise étanchéité engendre des infiltrations d’air indésirables, dégrandant l’efficacité énergétique et le confort thermique en été. Ventilation / Qualité de l’air : La ventilation naturelle n’est pas suffisante pour rafraîchir le bâtiment. Protections solaires : Les dispositifs sont rares, la chaleur pénetre facilement dans le bâtiment. |


















































