Les Solutions fondées sur la Nature (SfN), vers une approche opérationnelle de l’acceptabilité sociale en aménagement

AUTEUR·RICE
Esther Queffeulou
RELECTEUR·RICE
Guillaume Chrétien, François Chevaux
DATE DE PUBLICATION
5 novembre 2025

La présente étude avait pour objectif de cibler les zones potentielles de désimperméabilisation et de renaturation. Pour approfondir la réflexion, le mémoire de stage Les solutions fondées sur la nature, vers une approche opérationnelle de l’acceptabilité sociale en aménagement, mené de février à juillet 2025 au Cerema, apporte des éléments complémentaires autour de l’acceptabilité des solutions techniques envisageables sur le territoire d’étude.

Dans le cadre de ce stage, un regroupement de Solutions fondées sur la Nature (SfN) a été construit. Il constitue une aide à la décision pour tout acteur qui souhaiterait porter un projet qui réponde aux enjeux révélés par l’étude.

75 SfN adaptées au milieu urbain y sont recensées et classées selon le triptyque eau, sol et végétation. Cette liste n’est pas exhaustive (milieux agricole, forestier et littoral non étudiés), néanmoins elle constitue une base de travail solide pour engager les réflexions.

Schéma : les différentes solutions fondées sur la nature

Le concept de Solution fondée sur la Nature (SfN) crée par l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) offre une vision multi-thématique et systématique des enjeux actuels d’adaptation au changement climatique et constitue donc un levier pour redonner le pouvoir d’agir aux acteurs locaux face aux aléas naturels. A l’approche des 10 ans du concept, il s’agit de questionner les conditions de son déploiement opérationnel sur les territoires. C’est ce que le travail de stage a tenté d’explorer. Pour aller plus loin, le mémoire associé intitulé « Les Solutions fondées sur la Nature (SfN), vers une approche opérationnelle de l’acceptabilité sociale en aménagement » analyse en détail le concept et interroge l’acceptabilité sociale des projets liés à la transition écologique et sa nécessité pour le développement d’une culture du risque et d’un nouveau rapport au collectif.

Liens vers la référence du stage sur le site de l’université de Toulouse Jean Jaurès

[A FAIRE : rajouter le lien du pdf quand il sera diffusable]

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